La folie est préfèrable à la réalité.

C'est peinée et à ras de terre que je te dis que c'est finit, plus jamais je ne craquerais devant ton air défait.

On parle du vingtéunième siècle, moi je te parle bien de ces choses que l'on a vécues il y a des années de cela.

J'ai toujours eu ce sentiment, que j'allais vivre jusqu'à cent ans.

Je n'ai jamais eu peur de te regarder jusqu'au fond des yeux pour te dire que ma vie se résume à ce bleu.

Explique moi pour quoi maintenant j'ai peur de l'océan, pour quoi mes yeux ne trouvent plus de plaisir à regarder la pluie tomber lentement.

Tu savais que j'allais me laisser périr de dégoût face à mes souvenirs.

C'est pour ça que tu es partis si vite ? que tu m'as laissée lamentablement m'affaisser.

J'ai perdu ces mots que je trouvais dans tes vers, je cherche des aventures dans les qu'elles je me perd.

C'est avec les yeux qui se ferment, les paupière qui se cèlent que je te dis que j'ai trop écrit sur ce thème.

Il est vrai, mes mots n'ont plus trouvés d'histoire à raconter où tu ne jouais.

Rends moi mes sourires et mes yeux, regarde moi bien, implorer dieu, ce n'est pas si fastidieux.

Mon aventure aura cessée face à la débauche que mon passé exerce sur mes sentiments présents.

Il est aisé de me dire que tu m'aime mais que tu ne peux pas franchir le pas.

As-tu gobé un clown pour me faire tant pleurer, tu sais bien que ça m'a toujours terrifiée.

C'est notre vie et nos amours qui manquent à mes jours.

Je n'ai plus de logis, c'est cette affreuse claustrophobie qui m'écrase.

Je crois que j'ai trop cherché à comprendre pour quoi tu n'étais pas rentré ce matin là.

C'est cette folie, c'est comme ça qu'ils l'on appelée, il parait qu'elle fait partie de moi.

Seulement je ne la sent pas,je le sais,c'est toi.

Ton bleu de travail, il n' a pas quitté mes hanches.

Ils disent que je n'accepte pas ta perte, je ne comprend pas, tu m'as quittée.

C'est cette folie, comme ils l'appellent qui pour eux m'empêche d'accepter.

Ils disent aussi que si ça continue je vais te retrouver.

Je sais bien que non.